MERCI

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Merci
Je n’ai pas les mots pour te dire “merci”
Je n’ai pas les mots pour te dire ce que je ressens au plus profond de moi.
L’impression d’avoir trouvé mon tout, mon confident-ami-amour, mon petit cœur car oui ! Mon Cœur est grenadine, mi rouge-mi rose-mi rouge bordeaux, il bat ou devrais-je dire rebat lui qui s’était éteint si longtemps.
Tu m’as fait revivre quand je me croyais morte, effacée, vivante-mais-pas-trop, en A-pnée des que l’on me parlait d’A… A-mour, Ah-merde ! mon coeur est A-mer, noyé sous les flots A-vides.
Tu m’as rendue sensible quand je croyais ne plus être capable, incapable d’aimer, de ressentir, de vivre.
Je me suis laissée re vivre, et t’aimer; aimer quand bien même cet amour n’avait au départ aucune chance de survie. Je me suis laissée embrasser, dans le coup, dans le dos, sur les seins, sur le ventre avec douceur et amour, ta respiration haletante libérait de douces vapeurs chaudes qui réveillaient en moi des frissons par-ci par-là.
Je me suis laissé m’évader, quand, le dos courbé, tu saisissais à pleine main mes hanches, mes fesses, mes cuisses que tu parsememais de ton odeur; jusqu’à atteindre mon centre, ma précieuse intimité, mon entre, mon tout.
Je me suis laissée admirer, sous toutes les formes, sous tous les angles. Tu les trouvais belles mes courbes, disgracieuses à mes yeux, mais 10 fois gracieuses à tes yeux, il ne s’agit là que d’un point de vu; mais tu as pris le temps de caresser chacune de mes crevasses avec pour mot d’ordre, de célébrer ma beauté.
Je me suis laissée pénétrer par toi, par ton corps, tu es un bel homme, noir à la peau cacao devrais-je préciser chocolat noir saveur intense. Tu m’as pénétrée avec soin et délicatesse, tu es venu visiter mon royaume dans le respect de ma personne. Et j’avoue ressentir toujours autant de plaisir quand j’y repense; car qu’on se le dise j’aime m’offrir à toi, que dis je, m’ouvrir à toi.
Je me suis laissée vivre
Ton pénis à la bouche, cette si belle verge dressée et veineuse, j’ai pris plaisir à te sucer, te lécher, jouer avec ton prépuce, puis te prodiguer le plus sensationnel des massages en saisissant tes bourses de la main droite; à chaque pression, ton corps, tes gémissements résonnaient en moi;
Je me suis laissée le temps de découvrir ton corps, caresser ton être, titiller tes envies, toujours en éprouvant ce sentiment protecteur de bienveillance, car nos moments étaient si privilégiés qu’être ta femme, ton amante, ta pu(c/t)e n’avaient pour moi guère d’importance.
Je me suis laissée aimer amoureusement, -peut être-, tendrement -assurément-, sexuellement -certainement; et pour tous ces moments magiques. Ces moments de belles couleurs. D’intenses sensations. De beaux sentiments. De bienveillance. Je te remercie. ❤❤

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