L’air pur, mais mon cœur blessé me fait oublier, tant de beauté.
L’air pur, mais mes joues bleutés, me font presque oubliés la valeur de l’été.
L’air pur, mais rougissent les feuilles, comme un automne déjà installé.
Un peu de peine en moi se balade. Un chagrin. Un grain grincheux a me rendre malade.
L’air pur me reprend et à nouveau je renaîs.
Mes oreilles fermées s’ouvrent à nouveau.
Les chants des oiseaux, les courant d’air dans les roseaux et quelques papillons au ras de mon cou.
L’air pur balaye l’hostilité, de tant de douleur portée.
Le clair de lune, fait de la nuit, un havre de paix.
Se resaisit en moi, les saveurs des parfums, du Lila au jasmin que couvre mon jardin.
Je remets la main à la terre, pour honorer la vie.
L’air pure, et j’ouvre enfin les yeux, l’amour à ma porte, de ceux qui m’ont toujours porté.
Aimer encore. Pardonner. Sous les étoiles, de grâce à m’éclairer.
De ma lointaine place, par mes pensées,je tiens a les embrasser.