Dans la folie du monde
Il n’y a que des hommes et des poésies
Des proses posées à l’ombre des hérésies
Hermétique aux ondes jonchées de frénésies
Un passage de quelques secondes, un clin d’œil, une vie
S’agrippant, s’accrochant, amarré et cédant
Suivant le rythme du coeur comme un aimant
Dans la folie du monde
Il n’y a qu’espoir et soupirs
Au fond de mon œil est terré ton sourire
Une montée en flèche et finir par souffrir
Mon esprit vagabonde puis s’arrête sans prévenir
Un instant, une pirouette, réajustant sa mire
Dans la folie du monde il n’y a que poésies et des hommes pour les lire.