- Il permet de valoriser des héroïnes de notre histoire que l’on ne connait que trop peu et ainsi de proposer 10 nouveaux modèles de détermination et de courage aux femmes d’aujourd’hui et demain
2. Des beaux-livres sur l’histoire des noirs et l’histoire de femmes noires, il n’en existe pas ! Reines Des Temps Modernes, c’est un beau-livre que l’on s’offre ou que l’on offre mais surtout qui se transmet aux générations de demain. Et oui, c’est le long terme qui compte !
3. C’est un projet réalisé en autoédition : pas de maison d’édition, pas de subventions (mais nous ne sommes pas contre si jamais quelqu’un serait intéressé). Nous faisons tout nous même et avec nos propres moyens. De la réalisation à l’expédition !
4. C’est 5 corps de métier de l’artisanat qui participe au projet : sérigraphie, gaufrage, menuiserie, reliure et impression. Un véritable gage de qualité tant pour vous que pour nous.
5. C’est 2 ans de travail non stop, et surtout la mise en commun de multiples talents : photographes, coiffeurs, traductrices, modèles, maquilleuses, designer pour le beau-livre.
6. Il est réalisé en trois langues : français, anglais et portugais. Un bon moyen de s’initier à une nouvelle langue et de devenir trilingue ! Adieu wordreference !
7. Plus qu’un beau-livre, c’est un bel objet. Une édition avec une couverture en bois, une édition avec couverture en toile du marais, des pages gaufrés, des pages qui se déplient. Une véritable expérience sensorielle vous attend. Oui, oui vous verrez !
8. Bien qu’il parle de femmes noires, il s’adresse à tous car comme vous l’aurez remarqué, dans « Femmes noires », il y a « Femmes » = « être humain ». Donc l’excuse, ça ne me concerne pas, ne rentre pas en compte. Messieurs, vous êtes évidemment aussi concernés.
9. Investir dans la culture, investir dans l’art, c’est favoriser le rapprochement des cultures, créer du lien social. Et oui, rien que ça !
10. Et enfin, parce que si nous ne le faisons pas nous même, personne ne le fera pour nous !
Et le petit BONUS pour répondre à quelques questions que j’ai eu à ce sujet : Nous ne réalisons aucune marge sur cette première production de 100 exemplaires. Bien au contraire, les beaux-livres sont produits à perte. Mais c’était le prix à payer pour lancer cette première édition. Comme on dit : en amour, on ne compte pas ;).
